L’exercice du ministère pétrinien exigeait un discernement spirituel constant, surtout dans les matières difficiles. Medjugorje en est un exemple. Jean-Paul II a nommé une commission et a confié toute l’affaire à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, restant en contact permanent avec l’épiscopat de Bosnie-Herzégovine.
Touchant à l’essentiel, je dois dire que le Saint-Père était impressionné par l’esprit de prière, de pénitence et de conversion des personnes après le pèlerinage à la Mère de Dieu. Mais il a toujours gardé une distance prudente. Et c’est pourquoi il n’a pas reçu de “voyants” dans les audiences.
Avec le consentement du cardinal Stanisław Dziwisz – “J’ai vécu avec un Saint”
Maison d’édition Saint Stanislas BM. Cracovie 2013
