Jean-Paul II nous disait d’aimer la vie, nous préparant au jour de la mort et de la résurrection du Christ. En nous préparant à sa mort, le Pape a écrit: “Le commandement” Tu ne tueras pas “, exige de le respecter et de le promouvoir toujours, depuis le début jusqu’à la fin naturelle”. Et il expliquait: “Ce commandement s’applique également face à la maladie et lorsqu’une diminution de la force limite la capacité d’autonomie de l’homme. Si le processus de vieillissement avec ses conditions inévitables est reçu avec sérénité à la lumière de la foi, il peut devenir une précieuse opportunité pour mieux comprendre le mystère de la croix qui donne à la vie humaine tout son sens”. C’est pourquoi il ne s’est pas résigné – dit l’archevêque. – C’est pourquoi il a toujours accepté avec humilité les recommandations des médecins même si cela ne lui plaisait pas toujours. Il souffrait mais il continuait à se battre. Souffrant et combattant devant le monde entier, il a voulu nous aider à comprendre le mystère de la croix. Pas seulement pendant le Carême mais surtout à ce moment-là. Nous marchions avec lui dans ce désert, jusqu’à la Pâque.
Avec le consentement de Mgr Mieczysław Mokrzycki – “Une place pour tout le monde” – édition Znak, Cracovie 2013.
