C’était incroyable

C’était extraordinaire – dit l’archevêque. – Parce que je l’ai vu moi-même, mais les sœurs m’ont aussi dit que c’était comme ça pendant des années. Le Saint-Père avait des douleurs tous les vendredis. Parfois c’était un mal de tête, parfois une douleur au ventre ou bien au coeur. Quelqu’un dira que c’est un hasard. Je ne pense pas. Selon Stanisław ou bien une soeur, chaque fois que le Saint-Père souffrait de quelque chose, c’était toujours vendredi. Vendredi, le Saint-Père devait toujours être affecté par une souffrance. L’ancien secrétaire pontifical dit que Jean-Paul II – en tant qu’homme saint – était plus proche de Christ que n’importe lequel d’entre nous. Par conséquent, il partageait sa douleur, sa passion.

Avec le consentement de Mgr Mieczysław Mokrzycki – “Une place pour tout le monde” – édition Znak, Cracovie 2013.